mercredi 25 décembre 2013

Joyeux Noël

Joyeux Noël !

Pour Noël, je vous offre un article un peu particulier, représentant le mode de fonctionnement du blog de quelqu'un d'autre.

Moi, à la patinoire :


Moi, quand je viens de me venger avec succès :


Moi, quand j'affiche un air narquois :


Moi quand j'essaie de cuisinier :


Moi, quand je veux dormir mais que mon cerveau a décidé que non :


Moi, quand je me transforme en papillon (je rigole) :


Joyeux Noël ! ♥
Et en petit plus... http://www.youtube.com/watch?v=u6MFXem42-E

dimanche 22 décembre 2013

Si tu lis ça.

T-O-I


Si tu lis ça, je voulais te dire que :

Des fois, je donne l'impression que je ne suis pas là, que je ne suis pas moi, que je ne suis pas avec toi, mais c'est simplement parce que j'ai du mal à me concentrer longtemps sur la même chose.
Des fois, je donne l'impression que je ne t'écoutes pas, que je me fiche de ce que tu me dis, mais c'est simplement parce que tu racontes bien les histoires et que j'aime m'évader en t'écoutant parler.
Des fois, je donne l'impression que tu m’insupporte et que j'aimerais que tu te taises à jamais, mais finalement, quand tu le fais, je me sens tellement frustrée que j'aimerais t'envoyer des millions de mots pour te dire que je déteste avoir cette pose, ce vide, dans nos discussions.
Des fois, je donnes l'impression que je me vexes super vite, mais c'est seulement parce que tu es une de ces personnes avec qui j'aimerais être "parfaite" ou du moins paraitre parfaite à tes yeux.
Des fois, je donne l'impression que je suis dépressive, folle ou je ne sais quoi, il m'arrive même de dire que je suis folle moi même, mais c'est seulement parce que en ce moment j'ai du mal à suivre.

Si tu lis ça, je voulais t'apprendre que :

Quand tu te tais et que tu ne me réponds plus pendant quelques heures j'ai envie de me taper la tête contre le mur parce que je me demande ce que j'ai bien pu faire de mal, ce que j'ai bien pu faire pour te vexer, ce que j'ai bien pu faire pour que tu ne me parles plus.
Quand tu ne me réponds que par mono-syllabe, j'ai envie de t'avoir en face de moi, pour te foutre un bon coup de pied au cul et te faire réagir. Seulement parce que, justement, ça me vexe de le voir.
Quand tu me fais clairement comprendre que je t'énerve, c'est comme si on me donnait un coup de poing dans le ventre, parce que je ne veux pas t'énerver, te blesser ou je ne sais quoi encore.
Quand je me rends comptes que pour te parler, j'ai besoin de mon téléphone ou de mon ordinateur, c'est une vrai torture, parce que tu ne peux pas savoir ce que je penses n'y comment je suis.

+ Je ne savais pas quelle image mettre du coup j'ai pris celle-là vu qu'hier j'ai été à la patinoire. Malheureusement, décoller les pieds du sol, pour moi, ça relève un peu du miracle.
(c'est aussi un indice, pour toi, si tu lis ça)

samedi 21 décembre 2013

Un monde caché

Savoir ou ne pas savoir ? 


"On cache la vérité pour pour protéger"

Eh, coco, mentir n'est jamais la solution ! Je sais, je sais, on l'a tous déjà fait, sous prétexte que la vérité allait blessé la personne concernée. Que ce soit pour des broutilles ou pour des choses plus graves, on ne dit pas toujours tout, on ne dit pas toujours vrai, on ne dit pas toujours ce qui est bien. Mais, en y réfléchissant, c'est un acte qui tient plus de la stupidité qu'autre chose, non ? Parce qu'imaginez-vous dans un monde peuplé de semi-vérité, voir de mensonges complets. Après, à quoi pourrions-nous nous fiez ? A nous même ? Pas si sur, en fait. Parce que les personnes qui subissent ce que l'on tait pourrait très bien bien être nous même.

"Alors que la vérité se révèle être le remède au poison"

Certes, la vérité peut faire mal. Mais vivre sur des mensonges ne mène à rien. De plus, lorsque l'on sait ce que l'on a à combattre, on peut prendre des mesures contre. Mais quand le danger reste caché, comment faire pour s'en débarrasser ? Après, vous me direz que savoir que derrière votre dos on dit que vous être bête, moche, gros ou je ne sais quoi d'autre, ce n'est pas agréable et que c'est mieux de ne pas le savoir pour mieux vivre. Mais ce n'est pas mieux que d'être ami avec des personnes qui n'en valent pas la peine ? Être aimé et se croire aimé, c'est différent. Et c'est mieux de connaitre la différence.

"Mentir, c'est comme lancer la vérité en l'air,  ça vous retombe toujours dessus"

On ne vous à jamais dit qu'un mensonge finissait toujours pas être découvert ? Si, bien sur que si. Mais, en fidèles petites têtes de mules, vous préférez sûrement penser que tout ne peux être découvert, que jamais vos mensonges ne peuvent être  déterrés. Mais, si l'on vous le dit, il y a une raison. Certes, si, à trois ans, tu as piqué la gomme à fleur de ta grande sœur, on ne le saura pas forcément. Mais si, à treize ans, tu as dit à quelqu'un que tu  l'adorais alors qu'en fait tu le déteste, si, on finira par l'apprendre. Alors penses-y, la prochaine fois.

Enfin, je ne suis pas là pour vous faire une leçon de morale, j'ai fais pareil, je ne suis pas tout blanche donc, théoriquement, je ne devrais pas parler. Je veux juste vous éclaircir  l'esprit, je sais que vous avez du potentiel. <3

dimanche 15 décembre 2013

Jacques à dit...

Jacques à dit.


Jacques à dit "Cours !"

Courir, courir, courir et courir. Voilà en quoi ce résume notre vie, non ? Elle court, défile, tisse des liens, crée des idées, puis se volatilise. Elle court, s'empresse de nous aider, nous fait nous rapprocher, trouver des amis, avoir une vie sentimentale, puis finit par nous quitter.

Jacques à dit "Vole !"

Voler... On pourrait prendre ce mot dans le premier sens du terme et ce que dire que voler est impossible, sachant que nous n'avons pas d'ailes. Mais pourquoi ne pas le prendre sous un autre angle ? Quand quelqu'un est vraiment heureux, on dit bien qu'il plane, non ? Et quand quelqu'un est perdu dans un autre monde, on dit qu'il est dans la lune. Alors, peut-on vraiment ne jamais voler ? Je ne crois pas. Après tout, pour moi, le bonheur, tout simplement, se résume en ce mot. Voler.

Jacques à dit "Cours !"

Dans la vie, les enfants prennent leurs temps, les adultes vont vite, les personnages âgés prennent leurs temps. Pourquoi, à votre avis ? Parce que courir est épuisant et à force de vouloir allez trop vite, on manque des choses. Les enfants sont assez jeunes pour le savoir, les personnages âgés ont assez d'expérience pour le comprendre à nouveau.

Jacques à dit "Aime !"

L'amour, ce n'est pas le mot qui définit le mieux notre vie ? Tu nais, tu aimes, tu es aimé en retour, tu meurs. Et ainsi de suite. Une vie sans amour est impossible, tout simplement parce que la vie est indissociable de cet élément. C'est comme si on essayait de nous retirer l'oxygène puis qu'on nous disait de vivre. Impossible. Bien sur, il y a des gens, qui, me direz-vous, ne sont pas aimés, en tout cas pas heureux. Puis vous irez dire que les gens qui se suicident ne vivent pas avec de l'amour. C'est pourquoi j'ai dis que l'amour était indissociable de la vie, puisque quelqu'un qui se suicide est mort.

Jacques à dit "Marche !"

Marcher, c'est la première chose que l'on apprend à faire, le premier réflexe que l'on a. Pourtant, maintenant, avec les voitures, les vélos, les trottinettes, les scooters, on ne marche plus tant que cela. On peut même dire que nous nous transformons en chaussettes molles. Heureusement, les petits enfants marchent partout, explorent le monde de leur grands yeux innocents, en te tirant par la main pour que tu les emmènes se promener. Du coup, tu marches. Tu marches et tu aimes ça. Finalement, on ne peut pas arrêter de marcher.

Jacques à dit "Rêve !"

Je suis la seule à penser que les gens qui nous demandent d'arrêter de rêver sont fous ? Bon, d'accord, les cours ne sont peut-être pas appropriés pour cette activité mais ce n'est pas de notre faute tout de même. Le rêve, c'est un des éléments les plus importants, c'est quelque chose qui nous montre que notre imagination fonctionne toujours. Et puis, rêver, c'est utile pour remonter le moral et pour s'évader de la réalité. Rêver, c'est comme voler. C'est que du bonheur.

+ Inspiré de la chanson Jacques à dit de Christophe Willem 

mardi 10 décembre 2013

Treasure

Trésor


"You are my treasure"

C'est une phrase pour le moins banale. Vous savez, le genre de cliché qu'on vous balance à la figure dans tous les films à deux balles. Dans les trucs que vous regardez d'un œil, juste pour le plaisir de vous moquez des stupides acteurs qui ont acceptés de jouer. Mais imaginez vous dans la même situation, sans le décor niais d'à côté, et vous pourrez voir que ce n'est pas un hasard si tout le monde raconte la même histoire. Parce que je suis sûre que ses scènes culcul dont vous vous moquez à tout bout de champ vous ferait pleurer d'émotion si elles vous arrivaient.

"T'as de beaux yeux tu sais"

Tu n'as pas trouvé plus basique à me sortir ? Non ? Parce que, désolé de te le dire, mais je me retiens juste d'éclater de rire en ce moment. Ces phrases, du genre "tes yeux ressembles à la galaxie" ou encore "tes yeux sont plus bleus que le ciel d'azur" ne fonctionnent même pas dans les films. Alors tu imagines leurs effets "dans la vraie vie" ? Bon, ok, j'ai dis que certaines phrases niaises à souhait produisent une réaction positive... Mais pas toutes ! Mais ne t'en fais pas, je suis sûre que tu vas trouver mieux.

Mon trésor à moi...

Je peux te dire quelque chose ? Sûrement que tu t'en fous, mais j'aimerais te le dire quand même. J'aimerais t'expliquer, ce qui, pour moi, est un trésor. Mon trésor.

Mon trésor, c'est quelqu'un que j'aime voir à tout moment de la journée. Rien que de le voir parler et jouer, rire et bouger, chanter et danser... Me remplit de joie. Comme un rayon de soleil. 
Mon trésor, c'est quelqu'un qui n'a pas besoin de grand chose pour me faire rire. C'est quelqu'un qui, en deux coups de cuillères à pots, sait me réconforter, même quand je suis six pieds sous terre.
Mon trésor, c'est quelqu'un qui me soutient dans mes hauts et mes bas, mais qui est là pour me dire quand j'abuse et quand je dois me calmer. Quelqu'un qui me dit quand je fais des erreurs et qui s'occupe de me remettre les pieds sur terre, de me secouer et de me hurler qu'il faut que je me reprenne avant que tout ne finisse mal.
Mon trésor, c'est quelqu'un qui m'offre des cadeaux même quand je n'ai rien foutu, juste parce qu'il est content que je sois avec lui, juste parce qu'il est heureux de me voir et de m'entendre parler de rien.
Mon trésor à moi c'est quelqu'un qui me comprend quand je me tais et qui m'interroge du regard quand je vais mal, parce qu'il l'a vu, alors que je n'ai rien fais pour, alors que je ne veux pas qu'il le sache.
Mon trésor à moi c'est quelqu'un qui n'a pas besoin de mots pour me parler, juste besoin d'un regard, un signe, un geste, une intention particulière, que personne ne peut comprendre à par nous.
Mon trésor, c'est quelqu'un qui, à n'importe quel moment, peut me dire qu'il m'adore, alors que je viens de lui faire une crise juste avant.
Mon trésor, c'est quelqu'un qui ne s'emporte pas quand je commences à délirer et qui se contente de me remettre les pieds sur terre en me disant des mots tout mignons, comme si il voulait me préserver.
Mon trésor, c'est quelqu'un de formidable.
Mon  trésor, c'est lui.
Mon trésor c'est toi.
Mon trésor, c'est vous.

+ Cet article part d'une discussion avec un ami.
++ Cette chanson était dedans et je l'ai écouté pendant toute la création : http://www.youtube.com/watch?v=Sds5SpNd1Mw

jeudi 5 décembre 2013

Salut, ça va ?

Quand les gens...


"Ça va ?"

Bien sur, j'ai une tête de cul, de grosses cernes noires sous les yeux, les sourcils froncés et le front plissé mais je vais bien. Et puis je suis exécrable depuis ce matin, tout m'énerve,je me barre sans t'attendre et je lève les yeux au ciel dès que tu me parles, mais oui, je t'assure, je vais bien. Je n'ai d'ailleurs jamais été aussi bien.
Et puis, je vais bien quand je viens juste de tomber, de me prendre un poteau, de me faire frapper ou je ne sais quoi. Quand j'ai le nez qui pisse le sang, un trou dans mon jean, les genoux éraflés, des griffures sur le visage, je vais quand même parfaitement bien. 

Honnêtement, tu ne t'es jamais rendu compte que c'était la question à ne jamais poser, la question la plus stupide qui puisse exister quand tu vois que l'autre va mal ?

Je suis toujours lasse, blasée, je n'écoute pas ce que tu me dis,  je renifle à tout bout de champ, mais je vais bien. J'ai des cicatrices sur les bras, qui ne sont pas là par hasard, je vais bien. J'ai la gorge serrée, les yeux qui piquent, les joues rouges et gonflées, mais je vais bien. Très bien même.
Je suis enrhumée, j'ai la tête grosse comme une pastèque, je suis fiévreuse, j'ai mal au ventre, je ne mange plus rien, pliée en deux sur ma chaise, mais je vais bien. 

Honnêtement, quand tu poses cette question, tu ne t'attends pas à ce qu'on te dise non. Et quand c'est le cas, tu ne sais plus quoi dire.

Quand vous me parlez, j'ai l'impression de me retrouver en face d'un robot, programmé pour demander tout le temps "Hey, ça va ?". Mais évidemment, un robot n'étant pas doué de faculté intellectuel élevé, il est incapable de comprendre la réponse. Pas vous. Pourtant, je ne vois pas la différence. Bizarre, non ? Je peux même dire que ça fait peur. Sacrément peur même. 
Vous pensez quoi ? Que les autres ne sont pas comme vous ? On a tous des haut et des bas, mais quand ça ne va pas, on n'a pas forcément les même réactions. Une chose est sure, ce n'est pas en posant la même question cinq fois dans la journée que vous saurez ce que vous voulez. Alors pourquoi ne pas demandez directement ce qui vous tracasses ? 

+ Un, deux, trois, bonheur.