jeudi 31 octobre 2013

La nuit

Suis-je la seule ?


La nuit

Suis-je la seule qui, quand elle se couche vers deux heures du matin, regarde encore en-dessous de son lit, vérifiant une énième fois qu'il n'y a pas de monstre sous son lit ? 
Suis-je la seule qui, quand elle se réveille la nuit, laisse la porte de sa chambre entr'ouverte pour laisser filtrer un peu de lumière ?
Suis-je la seule qui, le soir, à l'impression d'entendre des bruits étranges, des grésillements et qui s'imagine toutes sortes de scénarios inimaginables ?
Suis-je la seule qui, pendant les soirées entre amis, est pétrifié, parce qu'elle a trop écouté les histoires d'horreur et qu'elle a peur de les voir se réaliser ?
Suis-je la seule qui, après avoir fait un mauvais rêve, se demande si ce n'est pas réel et fait le tour de la maison pour vérifier que non ?
Suis-je la seule qui, quand elle fixe son plafond, les murs de sa chambre ou même le sol encombré d'objets inutiles, à l'impression d'entendre des voix et de voir des ombres qui n'existent pas ?

Les ombres

En fait, une ombre, c'est quoi ? Qui pourrait me dire ce qu'est une ombre ? Est-ce notre âme ? Ou au contraire le côté sombre de nos vies ? Est-ce nos  rêves ? Nos espoirs ? Ou au contraire, nos cauchemars, nos terreurs ? Est-ce des anges gardiens ? Ou au contraire des démons ?
Tout le monde a une perception du monde différente. Alors pourquoi pas une ombre différente ? Une ombre unique, pour chacun ? Au fond, peut-être que l'ombre, celle qui apparait en pleine lumière quand on marche, peut-être que c'est ce que l'on veut que ce soit. Peut-être qu'elle peut être ange gardien, un jardin secret, l'horreur et le malheur. Peut-être qu'elle peut contenir les souvenirs d'enfance ? Tous les regrets amères ou les blessures de l'âme ? Qui sait, au fond, ce que son ombre est pour lui ? Personne. Et tout le monde. En même temps.

Joyeux Halloween à vous ! ♥

vendredi 25 octobre 2013

Contre la violence

Un hasard


Je suis tombée dessus par hasard et je tenais à le mettre ici.

mercredi 23 octobre 2013

Parfois

Parfois je me dis


Et si ?

Quelques fois je me dis :"Mais à quoi ça sert d'être ici" ? Et puis je te vois. Tu es là. Tu me souris. Alors j'oublie.
Quelques fois je me dis :"Ai-je mériter ça" ? Et puis tu me serres dans tes bras. Tu me rassures. Alors j'oublie.
Quelques fois je me dis :"Et si je laissais tomber" ? Et puis tu fronces les sourcils. Tu m'encourages d'un regard en me poussant vers l'avant. Alors j'oublie.
Quelques fois je me dis :"Cette fois-ci, tout est fini". Et puis tu reviens. Tu me regardes. Alors j'oublie.
Quelques fois je me dis :"Et si je partais" ? Et puis je te croise. Tu m'adresses un clin d’œil. Alors j'oublie.
Quelques fois je me dis :"J'ai tout perdu". Et puis tu viens me voir. Tu me scrutes du regard. Alors j'oublie.
Quelques fois je me dis :"Personne n'est là pour moi". Et puis tu me demandes ce que j'ai. Alors j'oublie.


Mais aujourd'hui ?

Le fait est qu'aujourd'hui, tu ne viens pas. Tu ne me serres pas dans tes bras. Tu ne me rassures pas, tu ne m'encourages pas. Le fait est qu'aujourd'hui, tu te fiches de moi. Tu m'as oublié. Tu ne te préoccupes plus de comment je vais. Le fait est qu'aujourd'hui, tu as grandi. Et maintenant, tu ne trouves plus le temps de penser à moi. Le fait est qu'aujourd'hui, tu n'es plus qu'un souvenir dans mon esprit. Le fait est qu'aujourd'hui, tu me déçois, tu n'es plus là. Le fait est qu'aujourd'hui, ton corps est là, mais ton coeur a disparu. Le fait est qu'aujourd'hui, tu as perdu ton âme.

Je l'ai écris en écoutant cette chanson : http://www.youtube.com/watch?v=GnkzT4qbez0

mercredi 16 octobre 2013

Je sais

Calmes-toi


"C'est bon ! Calmes toi !"

En fait, non, c'est n'est pas bon. Et non, je ne me calmerais pas. Parce que dis-toi bien que j'attends des excuses et que je ne bougerais pas de là sans les avoir reçu. Tu ne me voie pas, tu ne m'entends pas ? Très bien. Seulement, quand tu reviendras, je ne te verrais pas, je ne t'entendrais pas. Tu ne veux pas m'écouter ? Ne m'écoute pas. Mais jamais plus je ne t'écouterais. Tu ne veux pas prendre en compte un autre avis que le tien ? Très bien. Mais ne me demande pas le mien.

"Qu'est-ce qu'il y a ?"

Ce que j'ai ? Oh mais tu le sais très bien. J'en ai plus qu'assez que tu m'ignores, que tu me poses des questions dont tu ne veux pas entendre la réponse. J'en ai assez que quand quelque chose me déplait, je sois obligée de ne plus te parler pour que tu le comprennes. J'en ai assez que tu ne réagisses jamais et que tu attendes que je revienne te chercher, comme le bon petit chien que tu t'imagines que je suis.

"J'ai des problèmes, tu comprends ?!!"

Et bien non, je ne comprends pas. Tu as des problèmes familiaux ? Très bien. Je suis là pour te les faire oublier, pour t'aider à décompresser. Mais en aucun cas je ne suis là pour subir ta mauvaise humeur et tes crises de nerfs. Je ne suis pas là pour te servir de punching-ball où je ne sais quoi d'autres. Et si tu veux savoir, moi aussi j'en ai, des problèmes. Pourtant, as-tu vu une différence entre maintenant et avant ? Non. Parce que je fais tout pour contrôler mes émotions. Pour les cacher au fond de moi et ne pas déranger les autres avec. Parce que juge que l'amitié n'est pas un terrain de catch.

Parce que certaines personnes ont besoin qu'on leur dise les choses clairement pour comprendre.

dimanche 13 octobre 2013

Dis, pourquoi ?

Pourquoi ?


"Pourquoi, quand il te tape, tu rigoles ?"

Comment t'expliquer...?
Prenons un exemple simple : les  câlins. Quand quelqu'un te fait un câlin, tu souris, non ? (sauf si tu es forcé, mais là, je te parle d'un câlin sincère) Et bien moi, quand il me "frappe", je souris. Je suis heureuse tu vois, comme quand tu me parles.
Ensuite, on ne peut pas dire qu'il me tape. C'est plus des bourrades amicales. C'est notre façon de nous saluer. De nous dire que la différence de classe ne change rien. C'est même plus que ça en fait. Une sorte de jeu, de ronde immuable !

"Pourquoi, quand je t'oublie, tu reviens"

Tu sais que tu m'énerves ? Avec tes absences, tes silences. Tu te fais passer pour mort pendant plusieurs semaines, puis tu reviens. Tu me sors une excuse à deux balles, me parle pendant une ou deux semaines, avant de disparaitre à nouveau. Et ainsi de suite. Tu me fais tourner en rond. Pourtant, à chaque fois que tu es là, que tu me parles, j'ai une sorte de boule dans la gorge, un poids sur le cœur. Et comme une imbécile, je te réponds, je te pardonne. Chaque fois. Malgrès tous tes mensonges, je te crois. Malgrès toutes tes absences, je reste là. Tu m'énerves, mais tu me rends heureuse. Tu me dégoûtes, mais je n'arrive pas à t'oublier. Pourquoi ?

+ Mes textes ne sont pas forcément inspirés de ma vie, alors ne vous faites pas de film. ;)

vendredi 11 octobre 2013

Les profs


A l'école, vous aurez toujours trois sortes de professeurs:

Les pseudos-cool :

Ceux-là sont sûrement les pires. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'ils font semblant d'être des "potes", se la jouent jeunes... Et, le jour où il vous demander une gomme à votre voisin ? Puni. Vous avez oublier votre cahier ? Puni. Vous manger un chewimg-gum ? Collé.


Les sévères :

Bizarrement, les seuls cours calment, c'est les leur. Parce que l'élève sait que si il se fait prendre en train de faire autre chose que de suivre le cours, il est mort. Il sait aussi que si il ne participe pas, sa moyenne aura la forme d'un gouffre. Un gros trou. Un puits sans fond. Tout ce que vous voulez, mais rien de bien positif. Il sait qu'avec ce prof, même si il se fait chier, il progressera. Alors, il écoute. Et qui dit écouter dit ne pas parler. Donc, le cours est calme. Productif.

Les chieurs :

Eux, c'est les plus énervants. Sûrement parce qu'ils trouvent tout à redire. Ou peut-être parce qu'ils ne te mettent pas au dessus de quinze. Ou encore parce qu'ils ne te font aucune remarque mais viennent se plaindre ensuite à ton professeur principal. Quand tu tombes sur ses monstres, tu n'as qu'une envie : sécher. Parce que tu ne progresses pas, ils sont tellement ennuyeux ! Aussi parce que tu dors. Tout simplement. Mais le fait est que tout le monde dort. Du coup, tu ne peux même pas parler à ton voisin !

Et vous avez les professeurs de sports et de musiques :

Eux, c'est ceux que tu aimes. Parce que tu ne t'ennuies pas à leurs cours. Parce que chanter t'amuse, bouger te libère. Et ils le savent. Alors ils sont sympas. Ils vous parlent, d'égaux en égaux, pas en tant que personne supérieurement intellectuelle. Et ça plait aux élèves. Qui dû coup, sont sages. Gentils. Pleine de bonnes intentions.


Parce qu'on a école tous les jours.

jeudi 10 octobre 2013

L'écriture.

Écrire...


Prends une plume... 
...Et écris ton histoire.

On m'a demandé d'écrire. On m'a dit qu'on espérait voir un article, un nouveau, un tout neuf, faire son apparition ce soir. Ici. J'ai failli répondre :"Et toi ?" Mais je ne l'ai pas fait. J'ai souri, esquissé dans un coin de mon cerveau une réponse adéquate, avant de finir par laisser tomber. Et maintenant, j'écris. Pour vous dire, et pourquoi pas vous ? Rien ne vous en empêche.

Une phrase, un mot, une lettre.

La plupart du temps, je pars de rien pour écrire. Une idée me traverse la tête ? Je l'écris et la poste. Je ne me relis pas. Je ne change pas de mots, je ne change pas la tournure de mes phrases. La seule modification que j'apporte chaque fois, c'est pour l'orthographe. Alors, vous allez me dire :"Mais la dernière fois, pour le texte sur les Souvenirs" ? Et bien oui, l'idée ne venait pas de moi. On me l'a donné parce que je l'ai demander, je voulais écrire un petit quelque chose. Et bizarrement, je l'ai fait. Pourquoi ? Tout simplement parce que ça m'inspirait. 

"Mais c'est impossible, tu sais bien ! J'écris mal !"

Ah oui ? Et comment est-ce que tu peux le savoir ? As-tu déjà essayé d'écrire pour le plaisir ? As-tu déjà ressenti le bonheur que te procurais le fait de partager tes idées ? Tes rêves ? Tes envies ? Tes peines ? Oh mais je ne te parles pas d'un quelconque journal intime, que tu laisses tomber vers la moitié parce que tu n'as sois-disant plus le temps. Je ne te parles pas non plus des expressions écrites que tu fais en français. Je te parle de ces textes, ceux qui font voyager, ceux qui t'emmènent et qui te font découvrir un paysage caché. Ceux que tu lisais quand tu étais petit, ceux que tu lis maintenant parce qu'ils sont intriguant, ceux que tu aimes lire entre deux coups de feu et ceux que tu aimes déchiffrer le soir avant de t'endormir. Je te parles des livres qui te font te demander pourquoi, ceux qui te font connaitre petit à petit, dans une multitude de mots, un univers qui leur est propre.

"Mais je ne suis pas écrivain !"

Je le sais bien ! Mais moi, tu crois que je le suis ? Non. Et pourtant, j'écris là, non ? Certes, je n'ai largement pas le niveau de Boterro, de J.K Rowling ou je ne sais qui encore ! Mais tu crois quoi ? Que l'écriture, c'est innée ? Ils se sont tous entrainés, jour et nuit, minute après minute, en quette d'inspiration, de critique, d'évolution. Pour s'approcher d'un même but : Faire rêver son lecteur. Et le lecteur, jusqu'à maintenant, c'était toi. Mais maintenant, tu vas être lecteur et écrivain.

"Tu me soûles avec tes histoires !" 

Je sais, je suis là exprès. 
Non, plus sérieusement. Je ne vous dit pas qu'il faut écrire pour être heureux, bien dans sa peau ou je ne sais quoi. Mais c'est tellement utile ! Premièrement, parce qu'écrire est un moyen de se libérer, sans forcément être lu. Toutes tes émotions, toutes tes peurs, tout ! Tu peux tout confier à un bout de papier. Et lui, tu peux être sur qu'il ne parlera que si tu le veux. Deuxièmement, parce que ça aide partout ! En français, en histoire... Dans toutes les matières littéraires. Écrire, ce n'est pas seulement mettre des mots côte à côte pour former une phrase. C'est avant tout de la réflexion, de l'imagination. Ça te permets de rester enfant.   
Alors je n'ai qu'un mot à dire : Écris.

Parce qu'écrire, c'est vivre.

dimanche 6 octobre 2013

Souvenirs.

Parce que les souvenirs sont aussi important que les étoiles.


Te souviens-tu de ses journées ensoleillées, pendant lesquelles on t'emmenait au parc, juste pour le plaisir de voir ta petite tête d'enfant réjoui, émerveillé par la vie extérieur ?
Te souviens-tu de ses vacances au soleil, que tu passais à la plage, parce que dehors le ciel était si bleu, l'eau était si belle et le sable était si chaud ?
Te souviens-tu de tes longues balades, à marcher entre tes parents, accompagné de ta famille qui riait en te voyant sauter dans les flaques, courir après les oiseaux ou je ne sais quoi encore ?
Te souviens-tu de ses parties de cache-cache et chat, qui étaient pour toi si importantes que tu ne voulais en manquer une seule ?
Te souviens-tu de ton amour pour les châteaux de sables, les jeux de sociétés si longs mais si amusants à faire, où même tes parents participaient ?

Et maintenant, regarde devant toi, observe ce qui se passe.

Pourquoi le parc n'est-il plus un lieu de plaisir intense ?
Pourquoi, quand tu vas en vacances, tu préfères rester chez toi plutôt que d'aller au soleil ?
Pourquoi tu n'as plus le droit de sauter dans les flaques, pourquoi tu ne vas plus faire de balades en famille ?
Pourquoi tu préfères parler plutôt que courir, compter plutôt que te cacher ?
Pourquoi tu ne fais plus de châteaux de sables et pourquoi les jeux de sociétés ne sont plus au programme ?

Maintenant, réfléchis, et trouve des réponses.

Le parc c'est bien, mais les journées entre amis, c'est mieux.
Mon Dieu, mais le soleil brûle ! Et puis il faut mettre de la crème solaire ! C'est trop dur ! Tu veux me tuer ou quoi ?
Si tu voyais quelqu'un de ton âge sauter dans des flaques, tu te dirais quoi ? Que c'est un attardé. Pas vrai ?
Mais t'es fou ou quoi ! On va me prendre pour un gamin si je joue à chat ! Et puis, c'est dé-mo-dé.
Tes parents travaillent, ils n'ont plus le temps. Et maintenant que tu es grand, débrouilles toi tout seul.

Pour une amie. ♥

vendredi 4 octobre 2013

Loin des yeux, loin du coeur.

Mentir n'est jamais une solution.

  Loin des yeux, loin du cœur.

Pourquoi m'avez-vous menti ? Pourquoi m'avez-vous dit ça ? Ce n'est pas vrai ! Et maintenant, vous cherchez une explication, une autre histoire à me raconter. Vous espérez que je vous croirais à nouveau, comme quand j'étais petite. Mais non. Je ne tomberai plus dans le piège. Un câlin ne suffira pas, pas plus qu'une pizza ne me ferra oublier. Vous m'avez trahi, vous ne m'aurez plus.

 Ma puce... Tu ne reverras plus jamais mamie.

Non. Tu ment. Mamie ne peux pas être parti. Tu sais pourquoi ? Parce qu'elle n'a pas fini de m'apprendre tout ce qu'elle savait. Alors ne me dis pas qu'elle n'est plus là. Ne me dis pas qu'aujourd'hui, c'était son enterrement. Parce que je le sais. J'y étais. Et je n'ai pas pleuré. Tu sais pourquoi ? Parce que mamie est toujours là. En moi. En toi. En nous. Une mamie, ça ne meurt jamais. C'est comme Dieu, c'est immortel. Ce n'est pas quelque chose que tu peux me faire croire. D'ailleurs, tais-toi. Je ne veux plus t'entendre. Laisse moi. Pars. Je ne t'écoutes plus. Lalalala. Je n'entends rien. Mais arrête je t'ai dis ! Ne me rappelle pas qu'elle n'est plus là physiquement, qu'elle ne sera pas là à Noël, n'y pour me garder à Pâques ou passer les vacances d'été avec moi. C'est trop douloureux. Je ne veux penser qu'à son esprit, son âme, cette partie d'elle qui veille encore sur moi et non celle qui la fait souffrir pendant plus de cinq ans avant de la libérer à contre-coeur.

Parce que tu es là, en moi. ♥

( Toutes les personnes qui liront ce texte ne seront autorisés à aucun commentaire, ma vie et ce blog sont liés mais en même temps totalement déliés. J'avais juste besoin de me libérer. Le seul qui a le droit, c'est mon citron, parce qu'il ne me soûlera pas avec. )

On m'a dit.

Hier, quelqu'un m'a dit.


 "Allez, tu sais bien que tu peux tout me dire !"

Ah oui ? Tu en es sûre ? Parce que moi, je n'en ai pas l'impression. En plus, tu as l'air tellement heureuse ! Pourquoi t'embêterais-je avec mes problèmes ? Au fond, ce ne serait pas t'empêcher d'avancer ? Alors je ne te dis rien. Mais je te glisse quelques mots par-ci, par-là, en espérant que tu comprennes. Et toi, tu comprends. Alors je me dis que pour rien au monde je ne te laisserais partir. Parce qu'une personne comme toi, ça ne se trouve pas par millier. Et qu'un confident, on en a qu'un.

"Réponds moi, merde !"

Ah oui ? Tu le prends comme ça ? Et bien tu sais quoi ? Merde. Ah ? Ce n'est pas la réponse que tu attendais ? Et bien tant pis pour toi, parce que c'est celle que je te donne. Je ne me comporte pas comme une amie ? Et bien toi, alors ? A ne venir avec moi que quand elle n'est pas là. Tu étais la première à me dire que nos différences d'emploi du temps ne changeraient rien. Et pourtant, tu t'éloignes. Toi, celle qui écrit mon prénom sur ta main. Pourquoi tu ne te déplaces plus qu'avec elle ? Tu as peur d'être vu toute seule, pas vrai ? Attention, je ne dis pas que je ne l'aime pas, je l'adore, moi aussi. Ce n'est pas ça qui me dérange. C'est le fait que tu te serves d'elle. Ou de moi. Je ne sais plus. Je ne sais pas.

"J'aimerais bien me réconcilier avec quelqu'un, mais j'ai peur qu'il me trouve faux-cul"

Tu sais quoi ? Tu as raison. Parce que la personne dont tu parles, je la connais. Elle te ferra la tête un an, pour une raison inexistante, puis commenceras à te parler par sms, en trouvant ce progrès génial ! Mais après tout, ce n'est pas de sa faute, si tu fais plein d'erreurs ! C'est ce qu'elle te dit, c'est ce que tu crois. Je le sais, je l'ai vu dans tes yeux. Et pourtant, réfléchis. Remontes le temps et observes tes faits et gestes. Ah ? Tu ne trouves rien qui cloche ? C'est normal, il n'y en a pas. Alors maintenant, attends qu'elle revienne, ne lui courre pas après. Et ne t'en fais pas, tu ne seras jamais seule. Parce que tu m'as, moi.

"Je suis grosse"

Comment ça, tu es grosse ! Ne dis pas n'importe quoi, tu n'es pas grosse ! Même pas enrobée. Ce n'est pas parce que tu ne fais plus une taille trente-deux pour tes jeans ou du XS pour tes T-shirts que tu es en surpoids. Au contraire, c'est normal ! Faut-il que je te rappelle que tu ne fais plus un mètre deux les bras levés ? Non ? Et bien ne m'oblige pas à te rappeler que le poids vari avec la taille alors. Sinon, tu n'imagines même pas le carnage que ce serait ! Certes, avec nos épouvantails en guise de mannequins et les anorexiques qu'on croise à chaque coin de rue, on peut vite se dire qu'on est gros. Surtout si une personne s'amuse à te le répéter à tout bout de champs. Mais maintenant, il faut que tu arrête d'écouter les imbéciles à côté de toi et te fier à ton jugement ! Aie confiance en toi et arrête de douter !

"Arrête de chanter !"

Et bien quoi ? Je n'ai plus le droit d'être heureuse maintenant ? C'est bien connu, le chant montre un signe de joie, motive, s'adapte à n'importe quelle situation. Certes, je devrais peut-être me taire en classe. Mais c'est où ça ou je dors ! Et dans la cour, pourquoi je n'aurais pas le droit de fredonner ? Je n'ai jamais dit que j'étais un cadeau à mes amis, au contraire. Si on me choisit, on accepte aussi le fait que je puisse être énervante, c'est comme ça. Et sous la douche, pourquoi je n'aurais pas le droit de chanter à tue-tête ? Vous n'avez qu'à fermer les portes de vos chambres, bande d'énergumène sans cervelles !

jeudi 3 octobre 2013

Filles et garçons, un monde différent

Pourquoi ?


Un garçon pose une question à une fille.
C'est un prétexte pour lui parler.

Une fille pose une question à un garçon.
Elle n'a pas comprit l'exercice.
Un garçon passe devant une fille. 
Elle recule.
Il se sent respecté.

Une fille passe devant un garçon.
Il recule.
Elle se sent insultée.





Parce qu'on ne pourra jamais me faire croire,
Que filles et garçons ont les même réactions.

mercredi 2 octobre 2013

Toi et Moi

Nous


Toi et moi, c'est le jour et la nuit.
Toi et moi, c'est le soleil et la lune.
Toi et moi, c'est le feu et l'eau.
Toi et moi, c'est la folle et la sérieuse.
Toi et moi, c'est deux parties d'une même âme.
Toi et moi, c'est une histoire éternelle.

Parce que l'amitié est aussi important que l'oxygène...

La famille...


 La famille, c'est sacrée...


- Votre mère vous rassure, vous câline, vous écoute, vous conseille et vous fait grandir.
- Votre père vous gronde, vous surveille, vous protège et veille à ce que vous soyez toujours heureux.
- Vos frères et sœurs vous taquinent, vous embêtent, vous énervent mais sont toujours là pour vous.
- Vos grands-parents vous gâtent, vous offrent des cadeaux et sont les meilleurs confidents au monde.
- Vos oncles et tantes sont toujours là, vous proposent de l'aide et ont toujours des idées géniales.
- Vos cousins/cousines jouent avec vous, vous guident et vous disent quand vous commettez une erreur.

La famille, ce n'est pas seulement le lien du sang, c'est aussi un mode de vie, quelque chose d'essentiel qui permet de s'épanouir et de grandir. 

Parce que tu le méritais.

mardi 1 octobre 2013

Présentation d'un Ananas...

 La vie d'un Ananas...
A.N.A.Ï.S



Vous vous demandez sûrement qui je suis. Enfin il faudrait d'abord que vous ayez réussi à trouver ce blog mais bon, je vais quand même me présenter, au cas où...

Donc moi, c'est Anaïs, alias l"Ananas". J'ai 13 ans, donc je suis encore au collège, en 4ème plus précisément. (parce que voilà, je suis l'élève lambda, je n'ai jamais redoublée ni sauté de classe)
Sinon, si vous voulez vous faire une idée de ma personnalité et bien imaginez une folle qui aime bien répondre à la place des autres, voir même parler sans rien comprendre ou encore s'incruster dans une discussion qui n'est pas faite pour elle juste pour le plaisir de voir la tête des pauvres gens qui la subissent. Imaginez quelqu'un qui déteste le sport et trouve cette torture inutile, ou encore quelqu'un qui se plaint à longueur de journées parce que son ventre est vide et qu'il a faim, que les cours sont trop longs et que les professeurs sont ennuyeux. Imaginez quelqu'un qui aime embêter ses amis, pour voir jusqu'à quel point ils iront avant de craquer ou encore imaginez quelqu'un qui chante en cours, tape son voisin avec sa règle et s'amuse à pousser les gens plus grands avant de partir en courant. Maintenant, associé toutes ces suggestions et vous m'obtenez, moi.

Pour finir, le chocolat c'est la vie, ne l'oubliez jamais. ♥