mercredi 25 décembre 2013

Joyeux Noël

Joyeux Noël !

Pour Noël, je vous offre un article un peu particulier, représentant le mode de fonctionnement du blog de quelqu'un d'autre.

Moi, à la patinoire :


Moi, quand je viens de me venger avec succès :


Moi, quand j'affiche un air narquois :


Moi quand j'essaie de cuisinier :


Moi, quand je veux dormir mais que mon cerveau a décidé que non :


Moi, quand je me transforme en papillon (je rigole) :


Joyeux Noël ! ♥
Et en petit plus... http://www.youtube.com/watch?v=u6MFXem42-E

dimanche 22 décembre 2013

Si tu lis ça.

T-O-I


Si tu lis ça, je voulais te dire que :

Des fois, je donne l'impression que je ne suis pas là, que je ne suis pas moi, que je ne suis pas avec toi, mais c'est simplement parce que j'ai du mal à me concentrer longtemps sur la même chose.
Des fois, je donne l'impression que je ne t'écoutes pas, que je me fiche de ce que tu me dis, mais c'est simplement parce que tu racontes bien les histoires et que j'aime m'évader en t'écoutant parler.
Des fois, je donne l'impression que tu m’insupporte et que j'aimerais que tu te taises à jamais, mais finalement, quand tu le fais, je me sens tellement frustrée que j'aimerais t'envoyer des millions de mots pour te dire que je déteste avoir cette pose, ce vide, dans nos discussions.
Des fois, je donnes l'impression que je me vexes super vite, mais c'est seulement parce que tu es une de ces personnes avec qui j'aimerais être "parfaite" ou du moins paraitre parfaite à tes yeux.
Des fois, je donne l'impression que je suis dépressive, folle ou je ne sais quoi, il m'arrive même de dire que je suis folle moi même, mais c'est seulement parce que en ce moment j'ai du mal à suivre.

Si tu lis ça, je voulais t'apprendre que :

Quand tu te tais et que tu ne me réponds plus pendant quelques heures j'ai envie de me taper la tête contre le mur parce que je me demande ce que j'ai bien pu faire de mal, ce que j'ai bien pu faire pour te vexer, ce que j'ai bien pu faire pour que tu ne me parles plus.
Quand tu ne me réponds que par mono-syllabe, j'ai envie de t'avoir en face de moi, pour te foutre un bon coup de pied au cul et te faire réagir. Seulement parce que, justement, ça me vexe de le voir.
Quand tu me fais clairement comprendre que je t'énerve, c'est comme si on me donnait un coup de poing dans le ventre, parce que je ne veux pas t'énerver, te blesser ou je ne sais quoi encore.
Quand je me rends comptes que pour te parler, j'ai besoin de mon téléphone ou de mon ordinateur, c'est une vrai torture, parce que tu ne peux pas savoir ce que je penses n'y comment je suis.

+ Je ne savais pas quelle image mettre du coup j'ai pris celle-là vu qu'hier j'ai été à la patinoire. Malheureusement, décoller les pieds du sol, pour moi, ça relève un peu du miracle.
(c'est aussi un indice, pour toi, si tu lis ça)

samedi 21 décembre 2013

Un monde caché

Savoir ou ne pas savoir ? 


"On cache la vérité pour pour protéger"

Eh, coco, mentir n'est jamais la solution ! Je sais, je sais, on l'a tous déjà fait, sous prétexte que la vérité allait blessé la personne concernée. Que ce soit pour des broutilles ou pour des choses plus graves, on ne dit pas toujours tout, on ne dit pas toujours vrai, on ne dit pas toujours ce qui est bien. Mais, en y réfléchissant, c'est un acte qui tient plus de la stupidité qu'autre chose, non ? Parce qu'imaginez-vous dans un monde peuplé de semi-vérité, voir de mensonges complets. Après, à quoi pourrions-nous nous fiez ? A nous même ? Pas si sur, en fait. Parce que les personnes qui subissent ce que l'on tait pourrait très bien bien être nous même.

"Alors que la vérité se révèle être le remède au poison"

Certes, la vérité peut faire mal. Mais vivre sur des mensonges ne mène à rien. De plus, lorsque l'on sait ce que l'on a à combattre, on peut prendre des mesures contre. Mais quand le danger reste caché, comment faire pour s'en débarrasser ? Après, vous me direz que savoir que derrière votre dos on dit que vous être bête, moche, gros ou je ne sais quoi d'autre, ce n'est pas agréable et que c'est mieux de ne pas le savoir pour mieux vivre. Mais ce n'est pas mieux que d'être ami avec des personnes qui n'en valent pas la peine ? Être aimé et se croire aimé, c'est différent. Et c'est mieux de connaitre la différence.

"Mentir, c'est comme lancer la vérité en l'air,  ça vous retombe toujours dessus"

On ne vous à jamais dit qu'un mensonge finissait toujours pas être découvert ? Si, bien sur que si. Mais, en fidèles petites têtes de mules, vous préférez sûrement penser que tout ne peux être découvert, que jamais vos mensonges ne peuvent être  déterrés. Mais, si l'on vous le dit, il y a une raison. Certes, si, à trois ans, tu as piqué la gomme à fleur de ta grande sœur, on ne le saura pas forcément. Mais si, à treize ans, tu as dit à quelqu'un que tu  l'adorais alors qu'en fait tu le déteste, si, on finira par l'apprendre. Alors penses-y, la prochaine fois.

Enfin, je ne suis pas là pour vous faire une leçon de morale, j'ai fais pareil, je ne suis pas tout blanche donc, théoriquement, je ne devrais pas parler. Je veux juste vous éclaircir  l'esprit, je sais que vous avez du potentiel. <3

dimanche 15 décembre 2013

Jacques à dit...

Jacques à dit.


Jacques à dit "Cours !"

Courir, courir, courir et courir. Voilà en quoi ce résume notre vie, non ? Elle court, défile, tisse des liens, crée des idées, puis se volatilise. Elle court, s'empresse de nous aider, nous fait nous rapprocher, trouver des amis, avoir une vie sentimentale, puis finit par nous quitter.

Jacques à dit "Vole !"

Voler... On pourrait prendre ce mot dans le premier sens du terme et ce que dire que voler est impossible, sachant que nous n'avons pas d'ailes. Mais pourquoi ne pas le prendre sous un autre angle ? Quand quelqu'un est vraiment heureux, on dit bien qu'il plane, non ? Et quand quelqu'un est perdu dans un autre monde, on dit qu'il est dans la lune. Alors, peut-on vraiment ne jamais voler ? Je ne crois pas. Après tout, pour moi, le bonheur, tout simplement, se résume en ce mot. Voler.

Jacques à dit "Cours !"

Dans la vie, les enfants prennent leurs temps, les adultes vont vite, les personnages âgés prennent leurs temps. Pourquoi, à votre avis ? Parce que courir est épuisant et à force de vouloir allez trop vite, on manque des choses. Les enfants sont assez jeunes pour le savoir, les personnages âgés ont assez d'expérience pour le comprendre à nouveau.

Jacques à dit "Aime !"

L'amour, ce n'est pas le mot qui définit le mieux notre vie ? Tu nais, tu aimes, tu es aimé en retour, tu meurs. Et ainsi de suite. Une vie sans amour est impossible, tout simplement parce que la vie est indissociable de cet élément. C'est comme si on essayait de nous retirer l'oxygène puis qu'on nous disait de vivre. Impossible. Bien sur, il y a des gens, qui, me direz-vous, ne sont pas aimés, en tout cas pas heureux. Puis vous irez dire que les gens qui se suicident ne vivent pas avec de l'amour. C'est pourquoi j'ai dis que l'amour était indissociable de la vie, puisque quelqu'un qui se suicide est mort.

Jacques à dit "Marche !"

Marcher, c'est la première chose que l'on apprend à faire, le premier réflexe que l'on a. Pourtant, maintenant, avec les voitures, les vélos, les trottinettes, les scooters, on ne marche plus tant que cela. On peut même dire que nous nous transformons en chaussettes molles. Heureusement, les petits enfants marchent partout, explorent le monde de leur grands yeux innocents, en te tirant par la main pour que tu les emmènes se promener. Du coup, tu marches. Tu marches et tu aimes ça. Finalement, on ne peut pas arrêter de marcher.

Jacques à dit "Rêve !"

Je suis la seule à penser que les gens qui nous demandent d'arrêter de rêver sont fous ? Bon, d'accord, les cours ne sont peut-être pas appropriés pour cette activité mais ce n'est pas de notre faute tout de même. Le rêve, c'est un des éléments les plus importants, c'est quelque chose qui nous montre que notre imagination fonctionne toujours. Et puis, rêver, c'est utile pour remonter le moral et pour s'évader de la réalité. Rêver, c'est comme voler. C'est que du bonheur.

+ Inspiré de la chanson Jacques à dit de Christophe Willem 

mardi 10 décembre 2013

Treasure

Trésor


"You are my treasure"

C'est une phrase pour le moins banale. Vous savez, le genre de cliché qu'on vous balance à la figure dans tous les films à deux balles. Dans les trucs que vous regardez d'un œil, juste pour le plaisir de vous moquez des stupides acteurs qui ont acceptés de jouer. Mais imaginez vous dans la même situation, sans le décor niais d'à côté, et vous pourrez voir que ce n'est pas un hasard si tout le monde raconte la même histoire. Parce que je suis sûre que ses scènes culcul dont vous vous moquez à tout bout de champ vous ferait pleurer d'émotion si elles vous arrivaient.

"T'as de beaux yeux tu sais"

Tu n'as pas trouvé plus basique à me sortir ? Non ? Parce que, désolé de te le dire, mais je me retiens juste d'éclater de rire en ce moment. Ces phrases, du genre "tes yeux ressembles à la galaxie" ou encore "tes yeux sont plus bleus que le ciel d'azur" ne fonctionnent même pas dans les films. Alors tu imagines leurs effets "dans la vraie vie" ? Bon, ok, j'ai dis que certaines phrases niaises à souhait produisent une réaction positive... Mais pas toutes ! Mais ne t'en fais pas, je suis sûre que tu vas trouver mieux.

Mon trésor à moi...

Je peux te dire quelque chose ? Sûrement que tu t'en fous, mais j'aimerais te le dire quand même. J'aimerais t'expliquer, ce qui, pour moi, est un trésor. Mon trésor.

Mon trésor, c'est quelqu'un que j'aime voir à tout moment de la journée. Rien que de le voir parler et jouer, rire et bouger, chanter et danser... Me remplit de joie. Comme un rayon de soleil. 
Mon trésor, c'est quelqu'un qui n'a pas besoin de grand chose pour me faire rire. C'est quelqu'un qui, en deux coups de cuillères à pots, sait me réconforter, même quand je suis six pieds sous terre.
Mon trésor, c'est quelqu'un qui me soutient dans mes hauts et mes bas, mais qui est là pour me dire quand j'abuse et quand je dois me calmer. Quelqu'un qui me dit quand je fais des erreurs et qui s'occupe de me remettre les pieds sur terre, de me secouer et de me hurler qu'il faut que je me reprenne avant que tout ne finisse mal.
Mon trésor, c'est quelqu'un qui m'offre des cadeaux même quand je n'ai rien foutu, juste parce qu'il est content que je sois avec lui, juste parce qu'il est heureux de me voir et de m'entendre parler de rien.
Mon trésor à moi c'est quelqu'un qui me comprend quand je me tais et qui m'interroge du regard quand je vais mal, parce qu'il l'a vu, alors que je n'ai rien fais pour, alors que je ne veux pas qu'il le sache.
Mon trésor à moi c'est quelqu'un qui n'a pas besoin de mots pour me parler, juste besoin d'un regard, un signe, un geste, une intention particulière, que personne ne peut comprendre à par nous.
Mon trésor, c'est quelqu'un qui, à n'importe quel moment, peut me dire qu'il m'adore, alors que je viens de lui faire une crise juste avant.
Mon trésor, c'est quelqu'un qui ne s'emporte pas quand je commences à délirer et qui se contente de me remettre les pieds sur terre en me disant des mots tout mignons, comme si il voulait me préserver.
Mon trésor, c'est quelqu'un de formidable.
Mon  trésor, c'est lui.
Mon trésor c'est toi.
Mon trésor, c'est vous.

+ Cet article part d'une discussion avec un ami.
++ Cette chanson était dedans et je l'ai écouté pendant toute la création : http://www.youtube.com/watch?v=Sds5SpNd1Mw

jeudi 5 décembre 2013

Salut, ça va ?

Quand les gens...


"Ça va ?"

Bien sur, j'ai une tête de cul, de grosses cernes noires sous les yeux, les sourcils froncés et le front plissé mais je vais bien. Et puis je suis exécrable depuis ce matin, tout m'énerve,je me barre sans t'attendre et je lève les yeux au ciel dès que tu me parles, mais oui, je t'assure, je vais bien. Je n'ai d'ailleurs jamais été aussi bien.
Et puis, je vais bien quand je viens juste de tomber, de me prendre un poteau, de me faire frapper ou je ne sais quoi. Quand j'ai le nez qui pisse le sang, un trou dans mon jean, les genoux éraflés, des griffures sur le visage, je vais quand même parfaitement bien. 

Honnêtement, tu ne t'es jamais rendu compte que c'était la question à ne jamais poser, la question la plus stupide qui puisse exister quand tu vois que l'autre va mal ?

Je suis toujours lasse, blasée, je n'écoute pas ce que tu me dis,  je renifle à tout bout de champ, mais je vais bien. J'ai des cicatrices sur les bras, qui ne sont pas là par hasard, je vais bien. J'ai la gorge serrée, les yeux qui piquent, les joues rouges et gonflées, mais je vais bien. Très bien même.
Je suis enrhumée, j'ai la tête grosse comme une pastèque, je suis fiévreuse, j'ai mal au ventre, je ne mange plus rien, pliée en deux sur ma chaise, mais je vais bien. 

Honnêtement, quand tu poses cette question, tu ne t'attends pas à ce qu'on te dise non. Et quand c'est le cas, tu ne sais plus quoi dire.

Quand vous me parlez, j'ai l'impression de me retrouver en face d'un robot, programmé pour demander tout le temps "Hey, ça va ?". Mais évidemment, un robot n'étant pas doué de faculté intellectuel élevé, il est incapable de comprendre la réponse. Pas vous. Pourtant, je ne vois pas la différence. Bizarre, non ? Je peux même dire que ça fait peur. Sacrément peur même. 
Vous pensez quoi ? Que les autres ne sont pas comme vous ? On a tous des haut et des bas, mais quand ça ne va pas, on n'a pas forcément les même réactions. Une chose est sure, ce n'est pas en posant la même question cinq fois dans la journée que vous saurez ce que vous voulez. Alors pourquoi ne pas demandez directement ce qui vous tracasses ? 

+ Un, deux, trois, bonheur.

samedi 30 novembre 2013

Mamie

Mamie


Quand je vois les plus petits,
Passer dans les rues en riant,
Je leur souris, eux aussi,
Avant qu'ils ne partent en courant.

Je les vois jouer et s'amuser,
Comme moi depuis que je suis née,
Et dans leurs yeux se reflètent,
La lumière des jours de fêtes.

Je pense alors à toi,
A ce que tu représentes pour moi,
Et à l'étincelle que je vois;
A chaque fois que tu es là.

Tout mon être s'illumine,
Je ne veux pas que ça se termine,
Car pour moi Noël est un jour spécial,
A la renommée mondiale.

Je me vois déjà,
Te serrer dans mes bras,
Puis te raconter mes journées,
En te laissant les imaginer.

Et quand je m'endormirais,
Tombant dans les bras de Morphée,
Je suis sûre que je rêverai,
A nos moments partagés.

Bon alors je vous explique, c'est article un peu différente puisque c'est un poème. En effet, j'avais fait un poème à ma grand-mère l'année dernière pour Noël et maintenant, je juge bon qu'il soit ici. Alors peut-être que ça change de d'habitude, mais je ne vous ai pas obligé pas à lire hein, donc voilà. Après, je sais que les vers ne font pas tous la même taille et que les rimes ne sont pas toujours là, mais elle s'en fichait, donc moi aussi.
On dit bien que c'est le geste qui compte.

Parce que c'est bon de se souvenir.

vendredi 29 novembre 2013

Je vais bien

I'm fine


Cette fille...

Vous n'avez jamais vu cette fille ? Vous savez, la fille qui fait parti de presque tous les groupes d'amis, celle qui est là pour balancer une vanne pourrie toute les deux minutes, que personne ne prend au sérieux... Celle qui rit toujours, celle qui met la bonne humeur au sein des troupes, celle qui réconforte, celle qui écoute, celle qui fait chier, celle que l'on prend pour une conne...

Au fond...

Et bien qui vous dit que cette fille, qu'au fond, elle ne souffre pas ? Parce qu'elle sourit, elle est heureuse ? C'est cela votre logique stupide ? C'est cela que vous vous dites tous ? Parce que, pour vous, rire est synonyme de bonheur ? Et pleurer, de malheur ? C'est cela, non ? Pourtant, on dit bien "pleurer de rire", non ? Alors pourquoi pas l'inverse, hein ? Pourquoi pas ?

Mais en fait...

Mais au fond, vous vous en foutez de savoir si elle va bien, si elle n'a pas de problème, si elle ne vous cache pas tout. Parce que je vais vous dire la vérité. Vous vous foutez des autres tant que vous allez bien. Vous, sous vos grands airs de "je me préoccupes de mes amis, c'est mes potes, je ne vais pas les laisser tomber...", vous vous en branlez. Vous faites genre que tout est important, que jamais vous ne laisseriez quelqu'un tomber... Alors qu'en fait, vous n'êtes mêmes pas capable de voir la différence entre la vérité et le mensonge. Vous n'êtes pas capable de distinguer une personne qui va mal et une personne qui fait semblant d'être bien dans sa peau.

Oh, bien sur, vous ne l'avouerez pas. Vous lirez ceci en disant :"Moi je ne fais pas çaaaa, c'est le maaal incarné quoi" ! Pourtant, je peux vous assurez que si. Tous, autant que vous êtes, préférez croire que tout va bien, plutôt que de voir la réalité en face. Que voir que le monde n'est pas tout rose et que les hommes ne sont pas des bisounours mais des créatures pourries gâtées, impossible à changer. Vous ne pensez qu'au pouvoir, à vos intérêts personnel. Et tant pis pour la personne qui reste sur le bord du chemin, elle n'avait qu'à suivre le mouvement après tout. Mais oui, pourquoi faire des arrêts pour aider les autres, alors que le temps, c'est de l'argent ? Après tout, vous ne reverrez sûrement plus jamais cette personne après l'école, donc qu'elle se soit suicidée ou qu'elle mande chaque jour pour sa vie ne vous n'y chaud, n'y froid. Donc oui, allez-y, laissez pourrir les autres pour avancer. Amusez vous. Mais quand se sera à votre tour d'avoir mal, personne ne viendra vous aider.
Et certainement pas moi.

Parce qu'avant les fêtes, c'est important de savoir.

vendredi 22 novembre 2013

J'ai rêvé...

Cette nuit...


Doux...

Cette nuit, je me trouvais dans tes bras. Je dansais avec toi. Et c'était tellement doux. Agréablement doux. Doux comme un bisou, doux comme un câlin. Aussi doux qu'un rêve. Normal, non ?
Mais c'était bizarre. Parce que ce n'était pas vraiment toi. Parce que tout était un peu flouté, entouré de blanc. Comme un souvenir échappé de ma mémoire qui aurait décidé de revenir à moi. 

Agréable...

Cette nuit, tu étais là. Là pour moi, rien que pour moi. Là comme si tu le voulais. Là, alors que je ne t'avais rien demandé. Là, comme pour veiller sur moi. Pour me protéger, me surveiller. Pour garder un œil sur moi. Et tandis que les notes de musique s'égrenaient lentement, plongeant la scène d'une irréalité surprenante, tu me regardais.

Inimaginable...

Cette nuit, je ne te voyais pas. Tu étais toi, mais pas toi. Tu étais là, mais pas là. Mais le plus bizarre, c'est que je ne te reconnaissais pas. Tout simplement pas. C'était un visage inconnu et pourtant j'avais l'impression de te connaitre depuis des décennies. J'avais l'impression que tu savais tout de moi et que je pouvais tout te dire. J'avais l'impression d'être aimer. Et tandis que tu me serrais contre toi, je m'envolais littéralement du sol pour rejoindre un univers féerique.

Impensable... 

Je pense que c'était une coïncidence, un événement inexplicable envoyé par mon cerveau défaillant en manque d'amour. J'essaie de m'en convaincre, de toutes mes forces ! Mais je sais au fond de moi que cela ne vient pas de là et que mon imagination pourtant débordante n'aurait jamais inventée cela sans un coup de pouce, sans le petit déclic qu'on m'a donné.

mardi 12 novembre 2013

Toi

Toi...

 
Hum... Comment te décrire ?

Devrais-je commencer par ton exécrable caractère, tes questions/réponses à deux balles, tes questions merdiques ou encore ton horrible habitude de te faire paraitre plus bête que tu ne l'es ?
Devrais-je commencer par te décrire physiquement, alors qu'au fond, tout le monde s'en fout, tant que tu es "dans les normes" ?
Devrais-je commencer par citer tes putains de qualités puis tes énormes défauts ? Ou le contraire ? Ou les deux en même temps ?
Devrais-je commencer par une comparaison entre le toi de maintenant, le toi d'avant, le toi que tu veux montré et le toi caché ?
Devrais-je commencer par notre rencontre, alors que personne ne me l'a demandé ? Par nos réactions communes face à ce moment dit assez indescriptibles, incomparable aux autres ? 
Ou devrais-je au contraire commencer par la fin ? Par ce que j'ai ressentie quand tu m'as dis tous ces mots sans aucun sens et pourtant si fort ?

Tes gestes, tes pensées...

Difficile de lire dans ta petite tête, alors que tout ce que tu veux montrer, c'est ce que les autres veulent voir, alors que ce qui dirige ta vie est la peur de ne pas être accepté comme tu es.
Difficile de dire ce que tu ressens, alors que j'ai souvent l'impression de voir quelqu'un qui fait l'inverse de ce qu'il veut juste pour le plaisir de ne rien dévoiler, de ne rien dire à personne.
Difficile de voir qui tu aimes et qui tu n'aimes pas, sachant que tu agis exactement pareil avec les deux groupes si l'on te regarde au premier abord, si l'on te survoles du regard sans s'arrêter.
Difficile de prévoir tes réactions, puis que tu décides de changer de comportement à chaque fois que quelqu'un te parle.
Difficile  d'apprendre à te connaitre vu que tu ne montres jamais ta vrai face, celle pourtant si intéressante que tu n'oses nous faire connaitre.

 Tes habitudes...

Tu n'es pas le seul que je connaisse à ne pas me répondre, à ne pas me parler, à ne pas me voir, à ne pas faire attention à moi.
Tu n'es pas le seul que je connaisse à avoir peur de se montrer réellement et à penser que tout sera mieux si tu suis la "mode".
Tu n'est pas le seul que je connaisse à m'embêter sans arrêt, jouant un jeu tracé par une route invisible que toi seul sait reconnaitre.
Tu n'es pas le seul que je connaisse qui n'apprend pas ses leçons en pensant que le savoir viendra à toi si tu attends suffisamment longtemps et que tu espères suffisamment fort.
Tu n'es pas le seul que je connaisse à penser que le temps change et que nous n'y pouvons rien, à penser que tout est éphémère.

Malgré tout...

Et malgré ça, je ne peux m'empêcher de me dire que si tu n'avais pas été là, si tu n'étais pas là maintenant, je ne serais pas moi.
Malgré ça, je n'arrive pas à me détacher de toi, à me rendre compte que tu ne seras sûrement pas toujours là pour moi, là avec moi.
Malgré ça je réalise que si tu me demandais de courir, je courrais, que si tu me demandais de rire, je rirai, que si tu me demandais de parler, je parlerai, que si tu me demandais de sauter, je sauterais, que si tu me demandait d'attraper la lune je le ferrais.
Malgré ça je me dis qu'un jour, tu ne viendras plus me voir, que tu m'abandonneras peut-être pour d'autre... 
Et après, je n'y pense plus.

Parce que rien ne te changeras jamais. ♥
Même mes remarques sur tes absences. ♥
Même mes propos désobligeants sur ton attitude. ♥
Même le regard que porte les autres sur toi. ♥
Même la vie. ♥
Même la mort. ♥

jeudi 31 octobre 2013

La nuit

Suis-je la seule ?


La nuit

Suis-je la seule qui, quand elle se couche vers deux heures du matin, regarde encore en-dessous de son lit, vérifiant une énième fois qu'il n'y a pas de monstre sous son lit ? 
Suis-je la seule qui, quand elle se réveille la nuit, laisse la porte de sa chambre entr'ouverte pour laisser filtrer un peu de lumière ?
Suis-je la seule qui, le soir, à l'impression d'entendre des bruits étranges, des grésillements et qui s'imagine toutes sortes de scénarios inimaginables ?
Suis-je la seule qui, pendant les soirées entre amis, est pétrifié, parce qu'elle a trop écouté les histoires d'horreur et qu'elle a peur de les voir se réaliser ?
Suis-je la seule qui, après avoir fait un mauvais rêve, se demande si ce n'est pas réel et fait le tour de la maison pour vérifier que non ?
Suis-je la seule qui, quand elle fixe son plafond, les murs de sa chambre ou même le sol encombré d'objets inutiles, à l'impression d'entendre des voix et de voir des ombres qui n'existent pas ?

Les ombres

En fait, une ombre, c'est quoi ? Qui pourrait me dire ce qu'est une ombre ? Est-ce notre âme ? Ou au contraire le côté sombre de nos vies ? Est-ce nos  rêves ? Nos espoirs ? Ou au contraire, nos cauchemars, nos terreurs ? Est-ce des anges gardiens ? Ou au contraire des démons ?
Tout le monde a une perception du monde différente. Alors pourquoi pas une ombre différente ? Une ombre unique, pour chacun ? Au fond, peut-être que l'ombre, celle qui apparait en pleine lumière quand on marche, peut-être que c'est ce que l'on veut que ce soit. Peut-être qu'elle peut être ange gardien, un jardin secret, l'horreur et le malheur. Peut-être qu'elle peut contenir les souvenirs d'enfance ? Tous les regrets amères ou les blessures de l'âme ? Qui sait, au fond, ce que son ombre est pour lui ? Personne. Et tout le monde. En même temps.

Joyeux Halloween à vous ! ♥

vendredi 25 octobre 2013

Contre la violence

Un hasard


Je suis tombée dessus par hasard et je tenais à le mettre ici.

mercredi 23 octobre 2013

Parfois

Parfois je me dis


Et si ?

Quelques fois je me dis :"Mais à quoi ça sert d'être ici" ? Et puis je te vois. Tu es là. Tu me souris. Alors j'oublie.
Quelques fois je me dis :"Ai-je mériter ça" ? Et puis tu me serres dans tes bras. Tu me rassures. Alors j'oublie.
Quelques fois je me dis :"Et si je laissais tomber" ? Et puis tu fronces les sourcils. Tu m'encourages d'un regard en me poussant vers l'avant. Alors j'oublie.
Quelques fois je me dis :"Cette fois-ci, tout est fini". Et puis tu reviens. Tu me regardes. Alors j'oublie.
Quelques fois je me dis :"Et si je partais" ? Et puis je te croise. Tu m'adresses un clin d’œil. Alors j'oublie.
Quelques fois je me dis :"J'ai tout perdu". Et puis tu viens me voir. Tu me scrutes du regard. Alors j'oublie.
Quelques fois je me dis :"Personne n'est là pour moi". Et puis tu me demandes ce que j'ai. Alors j'oublie.


Mais aujourd'hui ?

Le fait est qu'aujourd'hui, tu ne viens pas. Tu ne me serres pas dans tes bras. Tu ne me rassures pas, tu ne m'encourages pas. Le fait est qu'aujourd'hui, tu te fiches de moi. Tu m'as oublié. Tu ne te préoccupes plus de comment je vais. Le fait est qu'aujourd'hui, tu as grandi. Et maintenant, tu ne trouves plus le temps de penser à moi. Le fait est qu'aujourd'hui, tu n'es plus qu'un souvenir dans mon esprit. Le fait est qu'aujourd'hui, tu me déçois, tu n'es plus là. Le fait est qu'aujourd'hui, ton corps est là, mais ton coeur a disparu. Le fait est qu'aujourd'hui, tu as perdu ton âme.

Je l'ai écris en écoutant cette chanson : http://www.youtube.com/watch?v=GnkzT4qbez0

mercredi 16 octobre 2013

Je sais

Calmes-toi


"C'est bon ! Calmes toi !"

En fait, non, c'est n'est pas bon. Et non, je ne me calmerais pas. Parce que dis-toi bien que j'attends des excuses et que je ne bougerais pas de là sans les avoir reçu. Tu ne me voie pas, tu ne m'entends pas ? Très bien. Seulement, quand tu reviendras, je ne te verrais pas, je ne t'entendrais pas. Tu ne veux pas m'écouter ? Ne m'écoute pas. Mais jamais plus je ne t'écouterais. Tu ne veux pas prendre en compte un autre avis que le tien ? Très bien. Mais ne me demande pas le mien.

"Qu'est-ce qu'il y a ?"

Ce que j'ai ? Oh mais tu le sais très bien. J'en ai plus qu'assez que tu m'ignores, que tu me poses des questions dont tu ne veux pas entendre la réponse. J'en ai assez que quand quelque chose me déplait, je sois obligée de ne plus te parler pour que tu le comprennes. J'en ai assez que tu ne réagisses jamais et que tu attendes que je revienne te chercher, comme le bon petit chien que tu t'imagines que je suis.

"J'ai des problèmes, tu comprends ?!!"

Et bien non, je ne comprends pas. Tu as des problèmes familiaux ? Très bien. Je suis là pour te les faire oublier, pour t'aider à décompresser. Mais en aucun cas je ne suis là pour subir ta mauvaise humeur et tes crises de nerfs. Je ne suis pas là pour te servir de punching-ball où je ne sais quoi d'autres. Et si tu veux savoir, moi aussi j'en ai, des problèmes. Pourtant, as-tu vu une différence entre maintenant et avant ? Non. Parce que je fais tout pour contrôler mes émotions. Pour les cacher au fond de moi et ne pas déranger les autres avec. Parce que juge que l'amitié n'est pas un terrain de catch.

Parce que certaines personnes ont besoin qu'on leur dise les choses clairement pour comprendre.

dimanche 13 octobre 2013

Dis, pourquoi ?

Pourquoi ?


"Pourquoi, quand il te tape, tu rigoles ?"

Comment t'expliquer...?
Prenons un exemple simple : les  câlins. Quand quelqu'un te fait un câlin, tu souris, non ? (sauf si tu es forcé, mais là, je te parle d'un câlin sincère) Et bien moi, quand il me "frappe", je souris. Je suis heureuse tu vois, comme quand tu me parles.
Ensuite, on ne peut pas dire qu'il me tape. C'est plus des bourrades amicales. C'est notre façon de nous saluer. De nous dire que la différence de classe ne change rien. C'est même plus que ça en fait. Une sorte de jeu, de ronde immuable !

"Pourquoi, quand je t'oublie, tu reviens"

Tu sais que tu m'énerves ? Avec tes absences, tes silences. Tu te fais passer pour mort pendant plusieurs semaines, puis tu reviens. Tu me sors une excuse à deux balles, me parle pendant une ou deux semaines, avant de disparaitre à nouveau. Et ainsi de suite. Tu me fais tourner en rond. Pourtant, à chaque fois que tu es là, que tu me parles, j'ai une sorte de boule dans la gorge, un poids sur le cœur. Et comme une imbécile, je te réponds, je te pardonne. Chaque fois. Malgrès tous tes mensonges, je te crois. Malgrès toutes tes absences, je reste là. Tu m'énerves, mais tu me rends heureuse. Tu me dégoûtes, mais je n'arrive pas à t'oublier. Pourquoi ?

+ Mes textes ne sont pas forcément inspirés de ma vie, alors ne vous faites pas de film. ;)

vendredi 11 octobre 2013

Les profs


A l'école, vous aurez toujours trois sortes de professeurs:

Les pseudos-cool :

Ceux-là sont sûrement les pires. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'ils font semblant d'être des "potes", se la jouent jeunes... Et, le jour où il vous demander une gomme à votre voisin ? Puni. Vous avez oublier votre cahier ? Puni. Vous manger un chewimg-gum ? Collé.


Les sévères :

Bizarrement, les seuls cours calment, c'est les leur. Parce que l'élève sait que si il se fait prendre en train de faire autre chose que de suivre le cours, il est mort. Il sait aussi que si il ne participe pas, sa moyenne aura la forme d'un gouffre. Un gros trou. Un puits sans fond. Tout ce que vous voulez, mais rien de bien positif. Il sait qu'avec ce prof, même si il se fait chier, il progressera. Alors, il écoute. Et qui dit écouter dit ne pas parler. Donc, le cours est calme. Productif.

Les chieurs :

Eux, c'est les plus énervants. Sûrement parce qu'ils trouvent tout à redire. Ou peut-être parce qu'ils ne te mettent pas au dessus de quinze. Ou encore parce qu'ils ne te font aucune remarque mais viennent se plaindre ensuite à ton professeur principal. Quand tu tombes sur ses monstres, tu n'as qu'une envie : sécher. Parce que tu ne progresses pas, ils sont tellement ennuyeux ! Aussi parce que tu dors. Tout simplement. Mais le fait est que tout le monde dort. Du coup, tu ne peux même pas parler à ton voisin !

Et vous avez les professeurs de sports et de musiques :

Eux, c'est ceux que tu aimes. Parce que tu ne t'ennuies pas à leurs cours. Parce que chanter t'amuse, bouger te libère. Et ils le savent. Alors ils sont sympas. Ils vous parlent, d'égaux en égaux, pas en tant que personne supérieurement intellectuelle. Et ça plait aux élèves. Qui dû coup, sont sages. Gentils. Pleine de bonnes intentions.


Parce qu'on a école tous les jours.

jeudi 10 octobre 2013

L'écriture.

Écrire...


Prends une plume... 
...Et écris ton histoire.

On m'a demandé d'écrire. On m'a dit qu'on espérait voir un article, un nouveau, un tout neuf, faire son apparition ce soir. Ici. J'ai failli répondre :"Et toi ?" Mais je ne l'ai pas fait. J'ai souri, esquissé dans un coin de mon cerveau une réponse adéquate, avant de finir par laisser tomber. Et maintenant, j'écris. Pour vous dire, et pourquoi pas vous ? Rien ne vous en empêche.

Une phrase, un mot, une lettre.

La plupart du temps, je pars de rien pour écrire. Une idée me traverse la tête ? Je l'écris et la poste. Je ne me relis pas. Je ne change pas de mots, je ne change pas la tournure de mes phrases. La seule modification que j'apporte chaque fois, c'est pour l'orthographe. Alors, vous allez me dire :"Mais la dernière fois, pour le texte sur les Souvenirs" ? Et bien oui, l'idée ne venait pas de moi. On me l'a donné parce que je l'ai demander, je voulais écrire un petit quelque chose. Et bizarrement, je l'ai fait. Pourquoi ? Tout simplement parce que ça m'inspirait. 

"Mais c'est impossible, tu sais bien ! J'écris mal !"

Ah oui ? Et comment est-ce que tu peux le savoir ? As-tu déjà essayé d'écrire pour le plaisir ? As-tu déjà ressenti le bonheur que te procurais le fait de partager tes idées ? Tes rêves ? Tes envies ? Tes peines ? Oh mais je ne te parles pas d'un quelconque journal intime, que tu laisses tomber vers la moitié parce que tu n'as sois-disant plus le temps. Je ne te parles pas non plus des expressions écrites que tu fais en français. Je te parle de ces textes, ceux qui font voyager, ceux qui t'emmènent et qui te font découvrir un paysage caché. Ceux que tu lisais quand tu étais petit, ceux que tu lis maintenant parce qu'ils sont intriguant, ceux que tu aimes lire entre deux coups de feu et ceux que tu aimes déchiffrer le soir avant de t'endormir. Je te parles des livres qui te font te demander pourquoi, ceux qui te font connaitre petit à petit, dans une multitude de mots, un univers qui leur est propre.

"Mais je ne suis pas écrivain !"

Je le sais bien ! Mais moi, tu crois que je le suis ? Non. Et pourtant, j'écris là, non ? Certes, je n'ai largement pas le niveau de Boterro, de J.K Rowling ou je ne sais qui encore ! Mais tu crois quoi ? Que l'écriture, c'est innée ? Ils se sont tous entrainés, jour et nuit, minute après minute, en quette d'inspiration, de critique, d'évolution. Pour s'approcher d'un même but : Faire rêver son lecteur. Et le lecteur, jusqu'à maintenant, c'était toi. Mais maintenant, tu vas être lecteur et écrivain.

"Tu me soûles avec tes histoires !" 

Je sais, je suis là exprès. 
Non, plus sérieusement. Je ne vous dit pas qu'il faut écrire pour être heureux, bien dans sa peau ou je ne sais quoi. Mais c'est tellement utile ! Premièrement, parce qu'écrire est un moyen de se libérer, sans forcément être lu. Toutes tes émotions, toutes tes peurs, tout ! Tu peux tout confier à un bout de papier. Et lui, tu peux être sur qu'il ne parlera que si tu le veux. Deuxièmement, parce que ça aide partout ! En français, en histoire... Dans toutes les matières littéraires. Écrire, ce n'est pas seulement mettre des mots côte à côte pour former une phrase. C'est avant tout de la réflexion, de l'imagination. Ça te permets de rester enfant.   
Alors je n'ai qu'un mot à dire : Écris.

Parce qu'écrire, c'est vivre.

dimanche 6 octobre 2013

Souvenirs.

Parce que les souvenirs sont aussi important que les étoiles.


Te souviens-tu de ses journées ensoleillées, pendant lesquelles on t'emmenait au parc, juste pour le plaisir de voir ta petite tête d'enfant réjoui, émerveillé par la vie extérieur ?
Te souviens-tu de ses vacances au soleil, que tu passais à la plage, parce que dehors le ciel était si bleu, l'eau était si belle et le sable était si chaud ?
Te souviens-tu de tes longues balades, à marcher entre tes parents, accompagné de ta famille qui riait en te voyant sauter dans les flaques, courir après les oiseaux ou je ne sais quoi encore ?
Te souviens-tu de ses parties de cache-cache et chat, qui étaient pour toi si importantes que tu ne voulais en manquer une seule ?
Te souviens-tu de ton amour pour les châteaux de sables, les jeux de sociétés si longs mais si amusants à faire, où même tes parents participaient ?

Et maintenant, regarde devant toi, observe ce qui se passe.

Pourquoi le parc n'est-il plus un lieu de plaisir intense ?
Pourquoi, quand tu vas en vacances, tu préfères rester chez toi plutôt que d'aller au soleil ?
Pourquoi tu n'as plus le droit de sauter dans les flaques, pourquoi tu ne vas plus faire de balades en famille ?
Pourquoi tu préfères parler plutôt que courir, compter plutôt que te cacher ?
Pourquoi tu ne fais plus de châteaux de sables et pourquoi les jeux de sociétés ne sont plus au programme ?

Maintenant, réfléchis, et trouve des réponses.

Le parc c'est bien, mais les journées entre amis, c'est mieux.
Mon Dieu, mais le soleil brûle ! Et puis il faut mettre de la crème solaire ! C'est trop dur ! Tu veux me tuer ou quoi ?
Si tu voyais quelqu'un de ton âge sauter dans des flaques, tu te dirais quoi ? Que c'est un attardé. Pas vrai ?
Mais t'es fou ou quoi ! On va me prendre pour un gamin si je joue à chat ! Et puis, c'est dé-mo-dé.
Tes parents travaillent, ils n'ont plus le temps. Et maintenant que tu es grand, débrouilles toi tout seul.

Pour une amie. ♥

vendredi 4 octobre 2013

Loin des yeux, loin du coeur.

Mentir n'est jamais une solution.

  Loin des yeux, loin du cœur.

Pourquoi m'avez-vous menti ? Pourquoi m'avez-vous dit ça ? Ce n'est pas vrai ! Et maintenant, vous cherchez une explication, une autre histoire à me raconter. Vous espérez que je vous croirais à nouveau, comme quand j'étais petite. Mais non. Je ne tomberai plus dans le piège. Un câlin ne suffira pas, pas plus qu'une pizza ne me ferra oublier. Vous m'avez trahi, vous ne m'aurez plus.

 Ma puce... Tu ne reverras plus jamais mamie.

Non. Tu ment. Mamie ne peux pas être parti. Tu sais pourquoi ? Parce qu'elle n'a pas fini de m'apprendre tout ce qu'elle savait. Alors ne me dis pas qu'elle n'est plus là. Ne me dis pas qu'aujourd'hui, c'était son enterrement. Parce que je le sais. J'y étais. Et je n'ai pas pleuré. Tu sais pourquoi ? Parce que mamie est toujours là. En moi. En toi. En nous. Une mamie, ça ne meurt jamais. C'est comme Dieu, c'est immortel. Ce n'est pas quelque chose que tu peux me faire croire. D'ailleurs, tais-toi. Je ne veux plus t'entendre. Laisse moi. Pars. Je ne t'écoutes plus. Lalalala. Je n'entends rien. Mais arrête je t'ai dis ! Ne me rappelle pas qu'elle n'est plus là physiquement, qu'elle ne sera pas là à Noël, n'y pour me garder à Pâques ou passer les vacances d'été avec moi. C'est trop douloureux. Je ne veux penser qu'à son esprit, son âme, cette partie d'elle qui veille encore sur moi et non celle qui la fait souffrir pendant plus de cinq ans avant de la libérer à contre-coeur.

Parce que tu es là, en moi. ♥

( Toutes les personnes qui liront ce texte ne seront autorisés à aucun commentaire, ma vie et ce blog sont liés mais en même temps totalement déliés. J'avais juste besoin de me libérer. Le seul qui a le droit, c'est mon citron, parce qu'il ne me soûlera pas avec. )

On m'a dit.

Hier, quelqu'un m'a dit.


 "Allez, tu sais bien que tu peux tout me dire !"

Ah oui ? Tu en es sûre ? Parce que moi, je n'en ai pas l'impression. En plus, tu as l'air tellement heureuse ! Pourquoi t'embêterais-je avec mes problèmes ? Au fond, ce ne serait pas t'empêcher d'avancer ? Alors je ne te dis rien. Mais je te glisse quelques mots par-ci, par-là, en espérant que tu comprennes. Et toi, tu comprends. Alors je me dis que pour rien au monde je ne te laisserais partir. Parce qu'une personne comme toi, ça ne se trouve pas par millier. Et qu'un confident, on en a qu'un.

"Réponds moi, merde !"

Ah oui ? Tu le prends comme ça ? Et bien tu sais quoi ? Merde. Ah ? Ce n'est pas la réponse que tu attendais ? Et bien tant pis pour toi, parce que c'est celle que je te donne. Je ne me comporte pas comme une amie ? Et bien toi, alors ? A ne venir avec moi que quand elle n'est pas là. Tu étais la première à me dire que nos différences d'emploi du temps ne changeraient rien. Et pourtant, tu t'éloignes. Toi, celle qui écrit mon prénom sur ta main. Pourquoi tu ne te déplaces plus qu'avec elle ? Tu as peur d'être vu toute seule, pas vrai ? Attention, je ne dis pas que je ne l'aime pas, je l'adore, moi aussi. Ce n'est pas ça qui me dérange. C'est le fait que tu te serves d'elle. Ou de moi. Je ne sais plus. Je ne sais pas.

"J'aimerais bien me réconcilier avec quelqu'un, mais j'ai peur qu'il me trouve faux-cul"

Tu sais quoi ? Tu as raison. Parce que la personne dont tu parles, je la connais. Elle te ferra la tête un an, pour une raison inexistante, puis commenceras à te parler par sms, en trouvant ce progrès génial ! Mais après tout, ce n'est pas de sa faute, si tu fais plein d'erreurs ! C'est ce qu'elle te dit, c'est ce que tu crois. Je le sais, je l'ai vu dans tes yeux. Et pourtant, réfléchis. Remontes le temps et observes tes faits et gestes. Ah ? Tu ne trouves rien qui cloche ? C'est normal, il n'y en a pas. Alors maintenant, attends qu'elle revienne, ne lui courre pas après. Et ne t'en fais pas, tu ne seras jamais seule. Parce que tu m'as, moi.

"Je suis grosse"

Comment ça, tu es grosse ! Ne dis pas n'importe quoi, tu n'es pas grosse ! Même pas enrobée. Ce n'est pas parce que tu ne fais plus une taille trente-deux pour tes jeans ou du XS pour tes T-shirts que tu es en surpoids. Au contraire, c'est normal ! Faut-il que je te rappelle que tu ne fais plus un mètre deux les bras levés ? Non ? Et bien ne m'oblige pas à te rappeler que le poids vari avec la taille alors. Sinon, tu n'imagines même pas le carnage que ce serait ! Certes, avec nos épouvantails en guise de mannequins et les anorexiques qu'on croise à chaque coin de rue, on peut vite se dire qu'on est gros. Surtout si une personne s'amuse à te le répéter à tout bout de champs. Mais maintenant, il faut que tu arrête d'écouter les imbéciles à côté de toi et te fier à ton jugement ! Aie confiance en toi et arrête de douter !

"Arrête de chanter !"

Et bien quoi ? Je n'ai plus le droit d'être heureuse maintenant ? C'est bien connu, le chant montre un signe de joie, motive, s'adapte à n'importe quelle situation. Certes, je devrais peut-être me taire en classe. Mais c'est où ça ou je dors ! Et dans la cour, pourquoi je n'aurais pas le droit de fredonner ? Je n'ai jamais dit que j'étais un cadeau à mes amis, au contraire. Si on me choisit, on accepte aussi le fait que je puisse être énervante, c'est comme ça. Et sous la douche, pourquoi je n'aurais pas le droit de chanter à tue-tête ? Vous n'avez qu'à fermer les portes de vos chambres, bande d'énergumène sans cervelles !

jeudi 3 octobre 2013

Filles et garçons, un monde différent

Pourquoi ?


Un garçon pose une question à une fille.
C'est un prétexte pour lui parler.

Une fille pose une question à un garçon.
Elle n'a pas comprit l'exercice.
Un garçon passe devant une fille. 
Elle recule.
Il se sent respecté.

Une fille passe devant un garçon.
Il recule.
Elle se sent insultée.





Parce qu'on ne pourra jamais me faire croire,
Que filles et garçons ont les même réactions.

mercredi 2 octobre 2013

Toi et Moi

Nous


Toi et moi, c'est le jour et la nuit.
Toi et moi, c'est le soleil et la lune.
Toi et moi, c'est le feu et l'eau.
Toi et moi, c'est la folle et la sérieuse.
Toi et moi, c'est deux parties d'une même âme.
Toi et moi, c'est une histoire éternelle.

Parce que l'amitié est aussi important que l'oxygène...

La famille...


 La famille, c'est sacrée...


- Votre mère vous rassure, vous câline, vous écoute, vous conseille et vous fait grandir.
- Votre père vous gronde, vous surveille, vous protège et veille à ce que vous soyez toujours heureux.
- Vos frères et sœurs vous taquinent, vous embêtent, vous énervent mais sont toujours là pour vous.
- Vos grands-parents vous gâtent, vous offrent des cadeaux et sont les meilleurs confidents au monde.
- Vos oncles et tantes sont toujours là, vous proposent de l'aide et ont toujours des idées géniales.
- Vos cousins/cousines jouent avec vous, vous guident et vous disent quand vous commettez une erreur.

La famille, ce n'est pas seulement le lien du sang, c'est aussi un mode de vie, quelque chose d'essentiel qui permet de s'épanouir et de grandir. 

Parce que tu le méritais.

mardi 1 octobre 2013

Présentation d'un Ananas...

 La vie d'un Ananas...
A.N.A.Ï.S



Vous vous demandez sûrement qui je suis. Enfin il faudrait d'abord que vous ayez réussi à trouver ce blog mais bon, je vais quand même me présenter, au cas où...

Donc moi, c'est Anaïs, alias l"Ananas". J'ai 13 ans, donc je suis encore au collège, en 4ème plus précisément. (parce que voilà, je suis l'élève lambda, je n'ai jamais redoublée ni sauté de classe)
Sinon, si vous voulez vous faire une idée de ma personnalité et bien imaginez une folle qui aime bien répondre à la place des autres, voir même parler sans rien comprendre ou encore s'incruster dans une discussion qui n'est pas faite pour elle juste pour le plaisir de voir la tête des pauvres gens qui la subissent. Imaginez quelqu'un qui déteste le sport et trouve cette torture inutile, ou encore quelqu'un qui se plaint à longueur de journées parce que son ventre est vide et qu'il a faim, que les cours sont trop longs et que les professeurs sont ennuyeux. Imaginez quelqu'un qui aime embêter ses amis, pour voir jusqu'à quel point ils iront avant de craquer ou encore imaginez quelqu'un qui chante en cours, tape son voisin avec sa règle et s'amuse à pousser les gens plus grands avant de partir en courant. Maintenant, associé toutes ces suggestions et vous m'obtenez, moi.

Pour finir, le chocolat c'est la vie, ne l'oubliez jamais. ♥